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Gabriel ATTAL, député de Vanves et porte parole national de la République En Marche, était sur RTL hier

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Gabriel Attal : «Les députés LaREM sont au taqueT

 

LE SCAN POLITIQUE - Invité du «Grand Jury» RTL/Le Figaro/LCI ce dimanche, le porte-parole de La République en marche a suspecté «certains» syndicats de cheminots de vouloir «prendre les Français pour des cons».

Les parlementaires sont-ils au bord du burn-out? Voilà plusieurs jours que cette petite musique agite les bancs de l'Assemblée nationale... À tel point qu'elle a contraint le président du Palais Bourbon, François de Rugy, à monter au créneau cette semaine. Il n'empêche, le député des Hauts-de-Seine et porte-parole de LaREM, Gabriel Attal, n'est pas du tout de cet avis. «Il ne faut pas être “too much” sur ce sujet-là», a-t-il exhorté dimanche, lors du «Grand Jury» RTL/Le Figaro/LCI. «On est au taquet. Les députés La République en marche sont au taquet, je ne sais pas comment le dire autrement. On travaille», a-t-il martelé, rappelant à ses collègues qu'ils s'étaient «tous battus pour devenir députés» et qu'ils avaient promis de «tout donner, notamment pendant la première année».

«Il n'y a pas de sujet de burn-out ou de fatigue. On n'est pas devenu députés pour être en vacances. Il y a des Français qui travaillent très dur et qui sont, eux, vraiment en burn-out. Et je pense que, ne serait-ce que pour eux, il faut savoir raison garder», a conclu l'élu francilien.

 

«Pas de diminution des aides individuelles perçues par les Français»

Parmi les dossiers qui demandent aux parlementaires «d'y aller à fond» se trouve notamment la réforme de la SNCF, qui est vivement contestée par plusieurs syndicats de cheminots. «Je souhaite que la grève s'arrête. (...) Certaines organisations pensent que l'exaspération des Français face à la grève - au moment du Bac, au moment des vacances... - va se reporter sur une exaspération contre le gouvernement. Si c'est ça le petit calcul qu'il y a derrière, non seulement je trouve ça assez nul politiquement, mais par ailleurs je pense que c'est prendre les Français pour des cons - excusez-moi de cette phrase (...)», a asséné le porte-parole de LaREM, qui s'était déjà illustré en dénonçant la «gréviculture» du pays.

De même, Gabriel Attal est revenu sur les critiques qui visent actuellement l'exécutif, dont la politique est accusée de n'être pas assez tournée vers le social - notamment par trois économistes proches d'Emmanuel Macron qui s'en sont émus dans une note confidentielle adressée à l'Élysée et publiée par Le Monde. «Certains, aujourd'hui, cherchent à nous arrimer encore à un système droite-gauche dont on est sorti avec l'élection présidentielle», a-t-il d'abord regretté.

Estimant que l'on avait «changé de logique» et de «paradigme», Gabriel Attal a ensuite vanté «l'émancipation par le travail» prônée par Emmanuel Macron durant la campagne présidentielle. Considérant enfin que «le modèle social, ce n'est pas uniquement des aides sociales», l'élu francilien a définitivement fermé le débat ouvert par Bruno Le Maire (Économie) et Gérald Darmanin (Action et Comptes publics): il a assuré qu'il n'y aurait «pas de diminution des aides individuelles qui sont perçues aujourd'hui par les Français».

 

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11/06/2018

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