VANVES ACTUALITE

VENDREDI 24 FEVRIER 2017. Le lycée Michelet touché par les manifestations lycéennes contre les violences policières ?

Informations vues sur  le site du Monde :

Violences policières : 16 lycées bloqués à Paris en soutien à Théo L.

Le Mouvement inter-luttes indépendant (MILI) a appelé les lycéens à manifester à Paris jeudi pour soutenir les victimes des violences policières. Un rassemblement a lieu place de la Nation.

 

Devant le lycée Arago (12e arrondissement), le 23 février. Parmi les manifestants, Kitem, élève de seconde, expliquait qu’« il y a trop de bavures policières (…) La police a des manières de faire, de contrôler, qu’on n’aime pas. Et là, c’est la goutte d’eau », faisant référence à « l’affaire Théo ».

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Dans le quartier de la Nation, à Paris, le matin du jeudi 23 février.

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Devant le lycée Henri-Bergson (19e arrondissement), après les heurts qui ont opposé manifestants et forces de l’ordre.

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Place de la Nation, jeudi 23 février.

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Des policiers en civil interpellent un homme dans le quartier de la Nation, jeudi 23 février au matin. La préfecture de police a annoncé onze interpellations à la suite du rassemblement.

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Un canapé et une poubelle en feu au milieu de la rue, dans le quartier de la Nation, jeudi 23 février.

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Place de la Nation, des manifestants ont jeté des pierres et divers projectiles, puis tenté de forcer les barrages des policiers, qui ont riposté par des tirs de gaz lacrymogène.

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Après les affrontements, place de la Nation, des jeunes manifestants, pour certains encagoulés, se sont attaqués à plusieurs voitures et des agences bancaires, a relaté une journaliste de l’Agence France-Presse.
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Devant le lycée Arago (12e arrondissement), le 23 février. Parmi les manifestants, Kitem, élève de seconde, expliquait qu’« il y a trop de bavures policières (…) La police a des manières de faire, de contrôler, qu’on n’aime pas. Et là, c’est la goutte d’eau », faisant référence à « l’affaire Théo ».

GONZALO FUENTES / REUTERS

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Le rectorat de Paris a annoncé, jeudi 23 février dans la matinée, que 16 lycées de la capitale ont été bloqués et douze l’étaient partiellement en début de matinée, alors que le Mouvement inter-luttes indépendant (MILI) a appelé les lycéens à manifester leur soutien aux victimes des violences policières, dont Théo L., victime d’un viol présumé à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) en début de mois. La veille, ce groupe d’extrême gauche avait fait état de 20 à 30 établissements potentiellement concernés.

Depuis 11 heures, jeudi matin, a lieu une manifestation sauvage, toujours à l’appel du MILI. La situation s’y calme après avoir été tendue, raconte la journaliste Chloé Marriault :

 

La préfecture de police a annoncé que cette manifestation n’a pas été déclarée. « Toute incitation ou participation à un attroupement non déclaré engage votre responsabilité morale et juridique », a-t-elle expliqué.

Dans l’académie de Versailles, on faisait état jeudi matin de « tensions » dans quatre lycées : à Clichy, Asnières, Gennevilliers et Vanves. Au lycée professionnel René-Auffray de Clichy, où neuf lycéens ont été placés en garde à vue mercredi 22 février après des échauffourées avec la police, la situation était tendue, rapporte un journaliste du Monde sur place.

L’académie de Créteil n’avait quant à elle « pas de remontées consolidées » ce jeudi matin mais faisait état « d’une situation calme ces derniers jours y compris dans les établissements d’Aulnay ».

La présidente de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse « condamne les blocages » et « demande au gouvernement de sécuriser » les abords des lycées.




24/02/2017

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